En Martinique, on parle autonomie
Pendant des heures, il y eu un congrès à Fort-de-France tenu par des conseillers régionaux et généraux martiniquais.
Ils ont parlé de l'avenir institutionnel de la Martinique.
Les élus des parties MIM, RCD, CNP se sont prononcés pour une évolution qui aille avec l'article 74 de la constitution Française.
Avec cet article, il devrait avoir une certaine autonomie des territoires.
C'est grace à cet article que les iles du nord ont pu devenir des collectivités d'outre-mer.
Avant il y avait deux collectivités, l'une pour la région, l'autre pour le département et les élus à l'unanimité ont décidé de voté le principe d'une assemblée délibérante unique qui remplacerait les deux précitée.
Au scrutin proportionnel, une assemblée de 75 membres élus à deux tours ayant obligation pour chaque liste d'avoir au moins deux représentants.
Monsieur Nicolas Sarkozy, président de la république, prendra acte et il pourra ensuite proposer une nouvelle consultation à la population de la Martinique.
Déjà en 2003, les martiniquais avaient refusé le changement qu'on leur proposait, allant contre les élus.
Ils ont parlé de l'avenir institutionnel de la Martinique.
Les élus des parties MIM, RCD, CNP se sont prononcés pour une évolution qui aille avec l'article 74 de la constitution Française.
Avec cet article, il devrait avoir une certaine autonomie des territoires.
C'est grace à cet article que les iles du nord ont pu devenir des collectivités d'outre-mer.
Avant il y avait deux collectivités, l'une pour la région, l'autre pour le département et les élus à l'unanimité ont décidé de voté le principe d'une assemblée délibérante unique qui remplacerait les deux précitée.
Au scrutin proportionnel, une assemblée de 75 membres élus à deux tours ayant obligation pour chaque liste d'avoir au moins deux représentants.
Monsieur Nicolas Sarkozy, président de la république, prendra acte et il pourra ensuite proposer une nouvelle consultation à la population de la Martinique.
Déjà en 2003, les martiniquais avaient refusé le changement qu'on leur proposait, allant contre les élus.